"Viens vent du midi qui éveille les amours, souffle sur mon jardin et que ses parfums y couvent réchauffe et dilate."

Elle représente le secret ultime, la vérité perceptible à l’oeil du coeur éclairé par le feu céleste symbolisé par celui apporté aux hommes par Prométhée. C’est à l’aide de cette lumière que nous pourrons percevoir la lumière enfouie dans les Hiéroglyphes (les gravures) des septante pierres afin que notre feu s’intensifie, uni à la fraîcheur de l’eau de la pierre de Borée, l’eau mercurielle dont il est inséparable.

Vous qui portez dans le coeur l’étincelle de la lumière de Prométhée, dont l’esprit est entouré de sagesse de Pallas, même si vous ne partagez pas avec les païens l’autel de Vulcain et celui de Vesta (deux divinités du feu), réclamez pour votre simplicité cette étude qui est nôtre en la défendant des attaques des envieux et mettez votre soin à extraire la vérité de la profondeur du puits et de la caverne.
 
La porte éternelle, c’est l’oeil central, siège de la vision d’éternité, il doit soulever sa paupière pour que brille en lui l’éclat de l’illumination équivalent à Pallas.

RE ET GARDER ET REGARDER ET EGARER.
 
Cocorico, le chant du coq de nos clochers.
Un coq qui picote un renard ayant attrappé une poule.
Le derrière de la tête ou siège l’intuition.

IMAGES
et TEXTES

• "Souffleur d'étoiles", poème du metteur en scène et comédien Arny Berry

• Brochure de présentation de l’œuvre [pdf 16 pages illustrées]

• Galerie photos de l’inauguration

• Liens

• Contact